En bref
- Pour créer une entreprise, vous devez tout d’abord définir votre projet puis en tester la faisabilité via une étude de marché.
- Rédiger un business plan est vivement recommandé pour chiffrer vos projet et solliciter d’éventuels financements.
- La création d’une entreprise nécessite de choisir un statut juridique. Vous pouvez opter pour une entreprise individuelle ou une société.
Vous vous demandez comment créer une entreprise ? L’organisation et l’anticipation sont de mise lorsqu’on se lance à son compte. Comment préparer la création de son activité ? Quelles sont les formalités obligatoires ? Comment gérer efficacement son business ? Voici les 9 étapes clés pour vous devenir entrepreneur en 2024.
Étape 1 : trouver une idée d’entreprise
La première étape consiste à définir le concept de votre entreprise. Il existe pour cela plusieurs stratégies possibles :
- avoir un projet innovant : développer une idée originale vous permet de vous démarquer de la concurrence et ainsi développer la curiosité de votre cible. Il s’agit donc d’une bonne stratégie, à condition toutefois que cette innovation soit en lien avec le marché et réponde à un besoin réel ;
- reprendre une entreprise : cette solution offre à l’entrepreneur une base solide puisque vous profitez d’un outil de travail opérationnel et d’une clientèle acquise. Néanmoins, une reprise d’entreprise coûte aussi plus cher qu’une création d’activité et vous devez vous assurer de la fiabilité des informations transmises par le cédant ;
- se tourner vers un secteur porteur : se positionner sur un secteur en pleine croissance peut augmenter les chances de réussite. Les secteurs de l’énergie renouvelable, du Green business ou de la Data Science sont particulièrement dynamiques en 2024.
Évidemment, vous devez aussi faire en fonction de vos compétences d’entrepreneur et de vos aspirations personnelles. En tout état de cause, votre offre doit répondre à un besoin. Il est donc essentiel d’identifier les problématiques de votre cible, en faisant notamment une étude de marché pour tester la faisabilité de votre idée.
Étape 2 : faire une étude de marché
Que vous vendiez un produit ou un service, vous devez précisément définir votre offre :
- à quel besoin répond-elle et quelle solution apporte-t-elle ?
- en quoi votre idée est-elle différente des autres offres du marché ?
- votre offre a-t-elle une identité propre ? Quelle image véhicule-t-elle ?
Votre offre doit s’adresser à une cible précise. Il est donc indispensable de connaître les caractéristiques, les comportements et les motivations de votre clientèle : âge, budget, habitudes de consommation, moyens de communication, lieu de résidence, etc.
Vous devez aussi prendre connaissance de tout ce qui pourrait avoir un impact sur votre offre :
- vos concurrents : quantité, ancienneté, offre, tarifs, évolution, stratégie marketing, etc. ;
- les tendances du marché : croissance sur votre secteur, innovations ou événements à venir, environnement technologique, etc. ;
- la législation relative à votre activité : émergence de nouvelles obligations, conditions réglementaires (qualification professionnelle ou garantie financière par exemple), etc.
Au regard de tous ces éléments, vous pourrez ensuite construire votre business model, c’est-à-dire la manière dont vous allez développer et vendre votre offre. Vous allez ainsi définir vos tarifs, sélectionner vos fournisseurs et choisir vos canaux de distribution.
Étape 3 : chiffrer ses besoins financiers
Tout projet d’entreprise, même de petite envergure, nécessite un investissement de départ. Il est donc indispensable de déterminer précisément les frais à prévoir :
- matériel, matières premières, outillage ;
- local (crédit ou loyer) ;
- logiciels de gestion, facturation ou logiciel métier ;
- frais d’assurances ;
- dépenses de communication (création d’un site internet, de cartes de visite, etc.) ;
- frais de création d’entreprise (frais administratifs, honoraires d’avocat, apports au capital social, etc.).
L’ampleur et la nature de ces frais varient selon votre projet et le choix de votre statut juridique. Ils doivent dans tous les cas être anticipés, afin de définir précisément vos besoins en budget initial, puis en fonds de roulement. N’oubliez pas qu’une fois votre activité lancée, vous serez également redevable de cotisations sociales et que votre bénéfice sera imposé.
Pour ce document, vous devez notamment produire :
- un bilan prévisionnel à 3 ans, avec des projections chiffrées ;
- un plan de trésorerie ;
- un tableau récapitulant vos besoins en financement et investissement.
Le business plan a pour objectif de prouver la viabilité économique de votre projet d’entreprise et vos besoins financiers.
Étape 4 : trouver des financements
Parallèlement au prêt bancaire, vous pouvez également solliciter des aides à la création d’entreprise :
- l’ACRE, ou exonération de début d’activité : elle vous permet de profiter d’une réduction de 50 % sur vos cotisations sociales pendant les 4 premiers trimestres civils de votre activité. Cette aide est attribuée à l’entrepreneur sous conditions ;
- si vous êtes indemnisé par France Travail : sous conditions, vous pouvez cumuler tout ou partie de vos revenus d’entrepreneur avec vos allocations chômage (ARE). Vous pouvez également demander l’ARCE, une aide vous permettant de toucher 60 % de vos droits restants à l’ARE sous forme de capital. Notez que ARE et ARCE ne sont en revanche pas cumulables.
- la prime d’activité (versée par la CAF) : sous conditions, elle peut être cumulée avec vos revenus professionnels ;
- un prêt à taux 0 ou un micro-crédit : ces aides sont ouvertes aux entrepreneurs qui n’ont pas réussi à obtenir un emprunt bancaire. Elles sont principalement accordées par l’Adie, Initiative France ou encore le Réseau Entreprendre ;
- le crowdfunding ou financement participatif : ce type de financement consiste à récolter des fonds sur internet, via une plateforme dédiée.
Présents dans toutes les régions de France, ces acteurs économiques peuvent vous fournir des informations précieuses sur les aides financières disponibles.
Étape 5 : choisir la forme juridique de son entreprise
Ouvrir une entreprise individuelle (EI)
Si vous souhaitez vous lancer seul et que vous êtes à la recherche de simplicité, la meilleure solution est de créer une entreprise individuelle. Cette forme juridique consiste à créer votre activité en votre nom propre. Les démarches de création et les formalités de gestion quotidienne sont alors moins lourdes qu’en société.
Notez que le cadre juridique de l’entreprise individuelle est moins sécurisé. Cette forme juridique attire également moins les investisseurs.
Si vous décidez d’ouvrir une EI, notez aussi que vous devez choisir entre une EI au régime réel et une EI au régime de la micro-entreprise. Voici leurs principales caractéristiques :
EI au régime réel | EI au régime de la micro-entreprise | |
---|---|---|
Démarches de création | Simples | Simples |
Cotisations sociales | 45 % du revenu d’activité environ | Entre 12,3 % et 23,2 % du CA |
Régime de protection sociale | TNS | TNS |
TVA | Redevable par défaut | Exonéré par défaut |
Comptabilité | Complète | Allégée |
Plafonds de CA | ||
Régime d’imposition | IR, avec option possible à l’IS | IR |
Déduction de frais professionnels |
Le régime de l’auto-entreprise (micro-entreprise) est réputé pour sa grande facilité de gestion. Toutefois, notez bien que votre chiffre d’affaires annuel sera plafonné : 188 700 € pour les activités commerciales et 77 700 € pour les prestations de services et les activités libérales.
Créer une société
Si vous souhaitez bénéficier d’un cadre juridique plus sécurisé, vous pouvez plutôt créer une société. Celle-ci aura alors une personnalité morale, distincte de votre personne. L’un des avantages sera de limiter votre responsabilité au montant de vos apports (sauf faute de gestion). En contrepartie, vos démarches de création seront nettement plus lourdes.
Si vous créez votre activité seul, vous pouvez vous tourner vers une société par actions simplifiée unipersonnelle (SASU) ou l’entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL).
Ces sociétés vous permettent de vous associer facilement. Il vous suffira alors de transformer votre EURL en SARL ou votre SASU en SAS.
EURL/SARL | SASU/SAS | |
---|---|---|
Formalités de création | Complexes | Complexes |
Capital social minimum | 1 € | 1 € |
Organe de direction | Gérant | Président |
Rédaction des statuts | Encadrée | Libre |
Régime social | TNS | Assimilé-salarié |
Régime fiscal | IR (option IS) | IS (option IR) |
Taux de cotisations sociales | Moyen | Élevé si rémunération |
Conjoint collaborateur |
Notez qu’il existe d’autres formes de société commerciale, comme la société anonyme (SA), la société en nom collectif (SNC), la société en commandite simple (SCS) ou encore la société en commandite par actions (SCA).
Comment choisir son statut juridique ?
Il n’existe pas de bonne ou mauvaise option pour choisir le statut juridique d’une entreprise. Pour prendre la bonne décision, il est recommandé de prendre en compte les critères suivants :
- votre souhait ou non de vous associer ;
- les obligations comptables ;
- votre budget de départ ;
- votre chiffre d’affaires prévisionnel ;
- vos besoins concernant votre couverture sociale ;
- le choix de votre régime fiscal.
Pour faire le meilleur choix, vous pouvez vous faire accompagner par un professionnel de la création d’entreprise. Recourir à une Legaltech ou un expert-comptable en ligne peut être une bonne option.
Contract Factory
Étape 6 : domicilier son entreprise
En tant qu’entrepreneur, vous avez l’obligation de choisir la domiciliation de votre entreprise. Vous devez en effet mentionner cette information lors de votre déclaration d’activité au guichet unique. Il s’agit également d’une décision stratégique car elle détermine l’adresse officielle de votre activité.
Voici les solutions possibles :
- la domiciliation au domicile de l’entrepreneur : si vous êtes entrepreneur individuel ou que vous travaillez principalement de chez vous, domicilier votre entreprise à votre adresse personnelle peut être l’option la plus simple et la plus économique. En revanche, cela peut avoir un impact sur votre image de marque. Vous rendez également votre adresse publique auprès de vos fournisseurs et de vos clients.
- la domiciliation dans des locaux commerciaux : louer ou acheter des bureaux ou des locaux vous permet de renforcer la crédibilité et la visibilité de votre entreprise. Cette solution est adaptée si vous avez besoin d’un espace physique pour accueillir vos clients et/ou stocker vos produits.
- le recours à une société de domiciliation commerciale : grâce à une société de domiciliation, vous pouvez opter pour une adresse prestigieuse dans un quartier d’affaires par exemple. Ces services incluent parfois la gestion du courrier, des salles de réunion et un standard téléphonique.
Sous conditions, l’entrepreneur peut également domicilier son activité dans une couveuse d’entreprises ou une pépinière d’entreprises.
Étape 7 : créer son entreprise
Vous créez une entreprise individuelle
Pour créer votre entreprise individuelle, vous devez vous connecter au site du guichet unique. Vous remplissez un formulaire en ligne où vous renseignez des informations vous concernant, vous et votre entreprise.
C’est également ici qu’il vous est demandé de choisir entre régime réel ou régime de la micro-entreprise (ou auto-entreprise).
Pour finaliser votre demande, vous devez joindre plusieurs documents, parmi lesquels :
- un justificatif d’identité ;
- une déclaration sur l’honneur de non-condamnation et de filiation ;
- un justificatif de domiciliation de votre entreprise ;
- une attestation de qualification professionnelle le cas échéant.
Si votre dossier est validé, vous recevez ensuite votre numéro Siret, votre extrait d’immatriculation au RNE (et au RCS si votre activité est commerciale), ainsi que votre attestation d’affiliation à la Sécurité sociale des indépendants (SSI). Comptez entre 2 à 4 semaines après le dépôt de votre dossier sur le guichet unique.
Vous créez une société
La création d’une société entraîne davantage de démarches. Vous devez en effet :
- rédiger les statuts de votre société : les statuts sont le document fondateur de la société. Ils définissent son fonctionnement, son objet et les règles entre associés. Ils doivent être rédigés avec soin, en précisant la forme juridique, le capital social de votre société et la répartition des parts sociales ;
- déposer son capital social : il s’agit de la somme que les associés investissent pour démarrer l’activité. Le capital social doit être déposé sur un compte bloqué, avant l’immatriculation de la société. Ce dépôt vous permet d’obtenir un certificat de dépôt, nécessaire à la création officielle de la société ;
- déclarer les bénéficiaires effectifs de la société : cette démarche consiste à identifier les personnes physiques qui détiennent ou contrôlent réellement la société. Elle garantit la transparence et vise à lutter contre le blanchiment d’argent ;
- publier un avis de création dans un journal d’annonces légales (JAL) : cette formalité légale vise à informer le public de la création de votre société. Cet avis doit comporter des informations telles que la dénomination sociale de votre société, sa forme juridique, son objet social et son siège de domiciliation. Cette publication est indispensable pour obtenir l’immatriculation au registre du commerce et des sociétés (RCS).
Vous pouvez ensuite déposer votre dossier de création sur le guichet unique.
Notez enfin que la création d’une société entraîne plusieurs coûts :
- immatriculation au RCS : 37,45 € pour une société commerciale (+ 17 € pour une activité artisanale) ;
- annonce légale : entre 121 € et 387 €
- déclaration des bénéficiaires effectifs : 21,41 €
- honoraires d’un commissaire aux apports (le cas échéant) : entre 500 € et 3 000 €.
Étape 8 : organiser la gestion de son entreprise
Une fois que vous aurez terminé les formalités pour créer votre entreprise, vous devez mettre en place différentes choses afin d’en faciliter la gestion. Il est également indispensable de sécuriser votre activité. Voici les étapes à prévoir.
Ouvrir un compte bancaire
Ouvrir un compte bancaire professionnel est obligatoire uniquement pour les sociétés. En entreprise individuelle, vous êtes tenu d’ouvrir un compte bancaire dédié (mais pas forcément professionnel) uniquement si votre chiffre d’affaires dépasse 10 000 € par an, pendant 2 années consécutives.
Dans tous les cas, distinguer vos transactions professionnelles de vos finances personnelles est vivement recommandé pour suivre plus facilement votre comptabilité. Cela vous permet également de montrer patte blanche en cas de contrôle.
Un compte bancaire professionnel, quant à lui, est certes plus coûteux, mais comporte aussi des avantages :
- l’accès à des outils de gestion de trésorerie ;
- l’accès au crédit bancaire professionnel ;
- des conseils financiers adaptés aux entreprises ;
- une crédibilité accrue auprès des clients et des fournisseurs.
Encadrer la gestion de votre entreprise
L’édition de factures et de devis répond à des normes comptables très strictes. Pour vous aider, vous pouvez utiliser un logiciel de facturation en ligne. Il vous permet en plus de suivre vos recettes/dépenses et d’anticiper vos déclarations fiscales.
Dans ce cas, il est recommandé de déléguer ces tâches à un expert-comptable.
Protéger ses créations
Vous avez créé votre marque ou un brevet ? Pour les protéger, vous devez les déposer sur le site de l’Institut National de la Propriété Industrielle (INPI) :
- le dépôt de marque : il protège le nom, le logo ou le slogan de votre entreprise contre toute utilisation non autorisée pendant 10 ans renouvelables ;
- le dépôt de brevet : il concerne les inventions techniques. Pour être brevetée, l’invention doit être originale et avoir une application industrielle. Cette protection peut s’étendre à l’international.
Renforcer sa protection sociale
Si vous ouvrez une entreprise individuelle ou que vous êtes gérant-associé d’une EURL, vous aurez le statut de Travailleur non salarié (TNS). Votre protection sociale est alors relativement réduite. Pour cette raison, il est conseillé de souscrire différentes assurances personnelles pour limiter la perte de revenus :
- une mutuelle TNS pour compléter les remboursements de la Sécurité sociale en cas de maladie ou d’hospitalisation ;
- un contrat de prévoyance pour vous garantir un maintien de revenus en cas d’incapacité de travail, d’invalidité ou de décès ;
- un plan d’épargne retraite (PER), pour compléter les versements de l’Assurance retraite et de vos organismes de retraite complémentaire.
Souscrire des assurances professionnelles
Selon votre activité, vous pouvez être dans l’obligation de souscrire certaines assurances :
- une assurance responsabilité civile professionnelle (RC Pro) pour vous couvrir en cas de dommages causés à un tiers dans le cadre de votre activité professionnelle ;
- la garantie décennale si vous êtes un professionnel du BTP.
D’autres assurances sont également recommandées :
- une multirisque professionnelle : elle couvre les dommages affectant vos biens professionnels (matériel, équipements, machines, stock), vos locaux. Elle peut également inclure une RC Pro ;
- la garantie perte d’exploitation : elle vous permet de maintenir votre niveau de revenus en cas de baisse d’activité liée à un sinistre ;
- une protection juridique : cette assurance peut prendre en charge les frais de procès en cas de litige judicaire avec un client, ainsi que les honoraires d’huissiers et les autres frais annexes.
Anticiper vos charges et vos impôts
Parallèlement au financement de son activité, un entrepreneur doit également anticiper ses différentes charges obligatoires afin de maintenir sa trésorerie à flot. Pour cela, vous devez veiller à anticiper les différentes charges suivantes :
- les cotisations et contributions sociales : leurs taux et les modalités de paiement varient selon votre statut juridique. Payées mensuellement en micro-entreprise, elles font l’objet de provisions dans les autres cas ;
- les cotisations patronales : vous en êtes redevable si votre entreprise embauche des salariés. Elles sont calculées sur le salaire de vos employés.
Vous êtes enfin redevable de la cotisation foncière des entreprises (CFE). Cette cotisation concerne toutes les entreprises et les sociétés, même si elles ne disposent pas d’un local professionnel (sauf cas d’exonération).
Étape 9 : trouver ses premiers clients
Créer son entreprise signifie également se faire connaître et trouver des clients. Voici quelques conseils pour promouvoir son activité :
- développez votre présence en ligne : en fonction de vos objectifs et de votre cible, vous pouvez créer un site web professionnel afin de présenter votre offre et vos références clients. Vous pouvez également être présent sur les réseaux sociaux pour interagir avec vos abonnés ;
- faites du réseautage avec d’autres entrepreneurs : participez à des événements locaux, des salons professionnels ou des conférences ;
- proposez des offres attrayantes : essai gratuit, satisfait ou remboursé, offre promotionnelle sont autant de stratégies susceptibles de déclencher un achat chez votre prospect ;
- mettez en place des collaborations et des partenariats : cela peut vous permettre de toucher de nouveaux prospects ;
- utiliser l’email marketing : constituez-vous une base de prospects et transmettez-leur régulièrement des informations sur vos offres (nouveautés, conseils, promotions).
FAQ
Comment créer une entreprise ?
Pour créer une entreprise, vous devez tout d’abord définir votre concept puis tester votre idée via une étude de marché. Vous devez également chiffrer vos besoins financiers, solliciter des financements puis procéder aux formalités de création.
Quel budget pour créer une entreprise ?
Le budget pour créer une entreprise dépend de vos besoins de financement initial puis du montant de votre fonds de roulement. Il est recommandé de chiffrer ces données financières au sein d’un business plan.
Comment créer une entreprise seul ?
Vous pouvez ouvrir une entreprise individuelle (régime réel ou en micro-entreprise). Vous pouvez également créer une société unipersonnelle, comme une EURL ou une SASU.