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Mise à jour le 04/12/2025

Top 7 des meilleurs CRM pour le secteur bancaire en 2025


Découvrez notre sélection des meilleurs CRM pour le secteur bancaire et financier et suivez nos conseils pour faire le bon choix.

La digitalisation a profondément transformé la manière dont les banques, fintechs, courtiers et gestionnaires de patrimoine interagissent avec leurs clients. Les parcours sont désormais multicanaux, les demandes plus rapides, les dossiers plus suivis, et la coordination entre équipes devenue stratégique. Dans ce contexte, un CRM permet de centraliser les informations, d’améliorer la réactivité et de fluidifier l’ensemble du parcours client, du premier contact jusqu’à la gestion quotidienne de la relation.

Tous les CRM ne répondent pas aux mêmes besoins : certains brillent par leur simplicité, d’autres par leur capacité à gérer des processus complexes ou à s’intégrer dans des architectures techniques étendues. Dans cet article, on passe en revue les meilleurs CRM pour le secteur bancaire et financier, et leurs forces selon votre organisation.

  • HubSpot – le meilleur pour unifier suivi commercial, actions marketing et relation client.
  • Creatio CRM – idéal pour modéliser des processus financiers complexes sans développement.
  • Microsoft Dynamics 365 – le plus cohérent pour les structures déjà équipées Microsoft.
  • NetSuite CRM – parfait pour les groupes financiers cherchant un CRM connecté à un ERP.
  • Zoho CRM – souple et abordable, idéal pour PME financières et courtiers.
  • Salesforce Sales Cloud – la référence pour les organisations bancaires avec plusieurs équipes et produits.
  • Pipedrive – la solution simple et visuelle pour les équipes orientées pipeline.

Qu’est-ce qu’un CRM pour le secteur bancaire ?

Un CRM pour le secteur bancaire et les établissements financiers est un outil qui centralise toutes les informations clients et consolide les interactions commerciales, marketing et opérationnelles dans un environnement où la relation client est largement digitalisée.

Il ne s’agit pas nécessairement d’un CRM “spécialisé banque”, mais d’une plateforme capable de s’adapter aux besoins des acteurs du crédit, de l’investissement, de la gestion de patrimoine, du courtage ou des services financiers en général.

Ces outils permettent aux équipes — conseil, front-office, marketing, service client — de disposer d’une vue complète des clients : dossiers en cours, historique des échanges, projets financiers, produits détenus, demandes, documents partagés ou rendez-vous. Ils facilitent aussi la coordination entre les différents services, ce qui est essentiel dans des secteurs où les parcours sont complexes et passent désormais par des points de contact variés (agence, téléphone, visio, mobile, espace client).

La plupart des CRM utilisés dans la banque ne gèrent pas directement des processus réglementaires comme le KYC ou la conformité, mais ils créent un cadre structuré pour suivre les actions, automatiser les relances, gérer les étapes d’un dossier et fluidifier l’expérience. Ils jouent ainsi un rôle clé dans la digitalisation de la relation client : qualification des besoins, personnalisation des recommandations, suivi commercial, automatisation des campagnes, pilotage de la performance et amélioration continue des parcours.

Notre sélection des meilleurs CRM banque

HubSpot

HubSpot est un CRM apprécié des équipes marketing et commerciales du secteur financier — banques, fintechs, courtiers, acteurs du crédit — grâce à sa simplicité d’usage et à son approche centrée sur l’expérience client. Sa version gratuite permet de structurer immédiatement un suivi des prospects : contacts, dossiers en cours, rendez-vous, interactions multicanales ou encore automatisations simples.

Avantages
  • Excellente centralisation échanges et relation client
  • Automatisations accessibles et efficaces
  • Intégrations nombreuses avec les principaux outils financiers et bureautiques
Limites
  • Montée en gamme coûteuse si plusieurs hubs sont activés
  • Personnalisation limitée sur les process complexes

Dans la finance, HubSpot sert surtout à centraliser les échanges et fluidifier les parcours clients : demandes de prêt, souscriptions en ligne, demandes de rendez-vous, suivi des leads marketing. L’outil offre une vue claire des dossiers et des échanges (emails, appels, documents), ce qui permet aux conseillers d’adapter leurs recommandations et d’améliorer la réactivité.

HubSpot pipeline

Ses intégrations nombreuses (Microsoft, Google Workspace, outils de service client, signature électronique, vérification d’identité (KYC)…) facilitent la mise en place de workflows plus fluides sans s’engager dans une architecture lourde. Pour en savoir plus, lire notre avis sur HubSpot.

Creatio CRM

Creatio est un CRM très apprécié des institutions financières qui ont des processus complexes : gestion de prêts, traitement de dossiers, collaboration entre back-office et front-office, workflows multi-étapes. Sa force réside dans sa capacité à modéliser facilement des processus métier grâce à un système no-code très avancé.

Avantages
  • Workflows no-code très puissants pour modéliser des processus financiers complexes
  • Forte orientation process : idéal pour les dossiers, prêts, validations internes
  • Très haut niveau de personnalisation
Limites
  • Paramétrage initial exigeant
  • Tarif élevé pour les nouveaux clients

Dans le secteur bancaire, Creatio est utilisé pour organiser et automatiser des parcours complets : analyse d’un dossier de crédit, suivi d’un portefeuille, demandes de modification contractuelle, remontées internes, communication entre services. L’outil permet de structurer des circuits de validation rigoureux, ce qui est particulièrement utile pour les établissements soumis à une forte exigence opérationnelle.

Creatio est puissant mais demande un travail de paramétrage initial important pour tirer pleinement parti de son potentiel. Il s’adresse davantage aux acteurs financiers de taille intermédiaire ou internationale qu’aux petites structures. Pour en savoir plus, lire notre avis sur Creatio CRM.

Microsoft Dynamics 365

Microsoft Dynamics 365 s’adresse surtout aux banques, assurances et acteurs financiers déjà équipés de l’écosystème Microsoft (Office 365, Azure, SharePoint). Le CRM se distingue par sa capacité à offrir une vue client unifiée tout en facilitant la circulation de l’information entre services.

Avantages
  • Intégration native avec l’écosystème Microsoft
  • Vision client unifiée pour les conseillers et équipes internes
  • Adapté aux organisations multicanales et multi-équipes
Limites
  • Configuration initiale parfois complexe
  • Moins accessible que les CRM plus “grand public”

C’est un outil particulièrement apprécié pour le suivi commercial et la relation client : interactions, contrats, demandes entrantes, analyse des besoins. Les fonctions d’automatisation et de modélisation des processus permettent de structurer des parcours financiers variés (demande de prêt, préparation d’un rendez-vous patrimonial, suivi d’un contrat).

fiche contact microsoft dynamics

Dynamics s’intègre très bien aux outils internes couramment utilisés dans les grandes institutions (Teams, Outlook, SharePoint…), ce qui facilite l’adoption. En revanche, la solution nécessite un certain niveau de compétences internes ou externes pour être configurée efficacement. Pour en savoir plus, lire notre avis sur Microsoft Dynamics 365.

NetSuite CRM

NetSuite CRM (Oracle) s’adresse principalement aux groupes financiers ou réseaux internationaux qui veulent un CRM intégré à un ERP. L’outil couvre non seulement la relation client mais aussi une partie des processus administratifs et opérationnels, ce qui en fait une plateforme adaptée aux structures cherchant une vision globale de l’activité, bien au-delà de la partie commerciale.

Avantages
  • Couverture très large (CRM + ERP)
  • Adapté aux réseaux multi-pays ou multi-activités
  • Reporting avancé et centralisé
Limites
  • Mise en place longue et complexe
  • Tarif opaque, uniquement sur devis

Dans le secteur financier, NetSuite permet de suivre tout le cycle de vie d’un client : prospection, souscription, contrats, facturation, renouvellements, conformité administrative. Sa force réside dans sa capacité à unifier CRM + ERP + reporting dans une seule plateforme, particulièrement utile pour les structures multi-entités ou multi-pays.

En revanche, la mise en place est lourde et le logiciel n’est pas adapté aux petites organisations. Pour en savoir plus, lire notre avis sur NetSuite.

Zoho CRM

Zoho CRM est une solution prisée des courtiers, cabinets de gestion patrimoniale, PME financières ou fintechs en développement. L’outil est abordable, modulable et offre de solides capacités d’automatisation pour gérer les leads, dossiers et interactions clients.

Avantages
  • Excellent rapport qualité/prix
  • Automatisations puissantes et faciles à configurer
  • Intégrations étendues dans l’écosystème Zoho
Limites
  • Interface moins aboutie que les grandes plateformes
  • Limitations sur les processus très complexes

Dans le secteur financier, Zoho permet d’organiser le suivi des prospects, de structurer des pipelines (prêt, assurance, investissement), d’automatiser les relances et d’analyser les performances commerciales. Il s’intègre bien avec les autres outils de l’écosystème Zoho (emailing, support client, reporting, documents), ce qui le rend polyvalent pour les petites équipes.

Zoho CRM convient particulièrement aux organisations qui ont besoin d’un CRM flexible mais sans la complexité d’un Salesforce ou d’un Dynamics. Pour en savoir plus, lire notre avis sur Zoho CRM.

Salesforce Sales Cloud

Salesforce est l’un des CRM les plus utilisés dans les banques, assurances, gestion de patrimoine et réseaux multi-agences. Sa force : une puissance de personnalisation qui permet de structurer des parcours financiers complexes, des équipes nombreuses et des produits variés (produits bancaires, assurance-vie, crédits, placements, services premium).

Avantages
  • Personnalisation très avancée des processus financiers
  • Reporting et analytique très puissants
  • Écosystème riche (add-ons, partenaires, intégrations métier)
Limites
  • Déploiement long et souvent accompagné d’un intégrateur
  • Tarification complexe et souvent élevée

Dans le secteur financier, Salesforce est souvent utilisé pour suivre les portefeuilles clients, orchestrer les opportunités de vente (prêts, placements, assurances), coordonner des équipes terrain ou en agence, gérer des pipelines multi-produits, centraliser les interactions omnicanales, produire un reporting très précis pour le pilotage commercial ou réglementaire.

C’est une plateforme extrêmement puissante mais dont la mise en place nécessite du temps et souvent un partenaire intégrateur. Pour une petite structure financière, l’outil est souvent surdimensionné. Pour en savoir plus, lire notre avis sur Salesforce Sales Cloud.

Pipedrive

Pipedrive est apprécié des courtiers, conseillers commerciaux et petites équipes financières qui veulent un outil simple, très visuel, centré sur le pipeline et l’action commerciale. L’outil est conçu pour aller vite : qualification, suivi des opportunités, relances, gestion des rendez-vous.

Avantages
  • Très simple à prendre en main
  • Pipeline visuel idéal pour les conseillers
  • Suivi clair des opportunités et relances
Limites
  • Peu adapté aux workflows complexes
  • Automatisations limitées par rapport aux concurrents

Dans les métiers financiers où la prospection et la relation client sont essentielles (courtage en crédit, assurance, conseil patrimonial), Pipedrive facilite le suivi des dossiers en cours sans complexité inutile. Il offre une bonne visibilité sur les conversions et permet de structurer un processus de vente simple.

Pipedrive fiche contact

En revanche, Pipedrive reste limité pour les organismes financiers qui ont des workflows internes complexes ou des parcours multi-produits. Pour en savoir plus, lire notre avis sur Pipedrive.

Tableau comparatif des CRM banque

Pour vous aider à comparer les offres, voici un tableau récapitulant les principales caractéristiques des logiciels CRM du secteur bancaire.

LogicielPour qui ?Tarif mensuel (à partir de, hors formule gratuite)Version gratuite ?Essai gratuit
HubSpotÉquipes marketing/commerciales de banques, fintechs et acteurs du crédit9 €14 jours
Creatio CRMInstitutions financières avec processus complexesSur devis14 jours
Salesforce Sales CloudGrandes banques, assurances, gestion de patrimoine, réseaux multi-agences25 €30 jours
Microsoft Dynamics 365Banques, assurances et groupes financiers déjà équipés Microsoft46,80 €30 jours
NetSuite CRMRéseaux financiers ou groupes internationaux Sur devisN/C
Zoho CRMPME financières, courtiers, cabinets de gestion patrimoniale14 €30 jours
PipedriveCourtiers, conseillers ou équipes commerciales14 €14 jours

Pourquoi utiliser un CRM banque ?

Le secteur bancaire évolue dans un environnement où la relation client est de plus en plus digitalisée, compétitive et exigeante. Un CRM permet de structurer cette relation, de fluidifier les parcours et d’améliorer l’efficacité des équipes, que l’on parle de banque de détail, de courtage, de crédit, d’assurance ou de gestion patrimoniale.

1. Centraliser toutes les informations clients

Les conseillers, chargés de clientèle et équipes marketing disposent d’une vue unifiée sur chaque client : interactions, rendez-vous, produits détenus, demandes en cours, documents transmis, historique des échanges.

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Cette centralisation réduit les doublons, évite les pertes d’information et améliore la qualité des échanges.

Selon l’éditeur HubSpot, 83 % des clients affirment que la plateforme unifie efficacement toutes les données de leur entreprise en un seul endroit.

2. Mieux suivre les opportunités commerciales

Que ce soit pour un crédit immobilier, un prêt à la consommation, une assurance ou un produit d’épargne, un CRM permet de :

  • suivre clairement les étapes d’un dossier,
  • structurer les relances,
  • analyser les conversions,
  • coordonner les actions entre agences, conseillers et back-office.

Les équipes gagnent en visibilité et en réactivité.

3. Améliorer la qualité de la relation client

Les parcours financiers sont souvent complexes. Un CRM aide à rendre l’expérience plus fluide grâce à des prises de rendez-vous simplifiées, un suivi transparent d’un dossier, aux notifications automatiques ou encore à l’historique complet accessible au conseiller.

Le client bénéficie d’une communication plus cohérente et personnalisée.

4. Automatiser les tâches répétitives

Un CRM permet de gagner du temps en automatisant : les relances, les suivis de dossiers, les emails post-rendez-vous, les transmissions d’informations, les rappels de renouvellement ou d’échéance. Les conseillers peuvent se concentrer sur la relation plutôt que sur l’administratif.

5. Piloter l’activité et la performance

Les banques et établissements financiers utilisent le CRM pour suivre :

  • les volumes de dossiers,
  • les taux de conversion,
  • les performances par équipe ou agence,
  • les tendances du marché,
  • l’efficacité des campagnes marketing.

Les tableaux de bord et KPI des CRM aident à prendre de meilleures décisions et à optimiser les ressources.

6. Soutenir la digitalisation des parcours financiers

Ouverture de compte, demande de prêt, souscription d’un produit d’assurance, mise en relation… Le CRM devient une brique essentielle pour connecter marketing, commercial, support client et outils métier. Il sert de passerelle entre les différents canaux (site web, espace client, agence, mobile, centre d’appel), afin d’assurer un parcours fluide et cohérent.

7. Faciliter la collaboration entre front-office et back-office

Le CRM améliore la coordination entre les conseillers, les analystes, les gestionnaires de contrats ou les équipes conformité. Même s’il ne remplace pas les outils métiers, il apporte une structure pour suivre les étapes, responsabiliser les équipes et garantir la continuité de service.

Comment choisir son CRM bancaire ?

Le choix d’un CRM dans le secteur bancaire dépend autant des besoins opérationnels que du niveau de maturité digitale et de la structure de l’organisation (agences, équipes terrain, back-office, marketing, conformité, etc.). Voici les principaux critères à prendre en compte.

1. Le type d’établissement et ses besoins réels

Un CRM utilisé par une banque de détail n’aura pas les mêmes priorités que celui d’un courtier, d’une fintech ou d’un cabinet de gestion patrimoniale.

Avant toute sélection, il faut clarifier :

  • le volume de dossiers à traiter,
  • la place du digital dans les parcours clients,
  • la complexité des processus internes,
  • le rôle des conseillers et des équipes marketing.

Plus les parcours sont complexes, plus il faudra s’orienter vers un CRM personnalisable (Salesforce, Creatio, Microsoft Dynamics).

2. La capacité à s’intégrer à l’écosystème existant

Dans la finance, la majorité des tâches clés se fait dans des outils métiers spécialisés (KYC, conformité, scoring, analyse financière, gestion documentaire, back-office). Le CRM doit donc s’intégrer facilement à ces solutions. Il doit permettre des synchronisations fiables et ainsi d’éviter les doubles saisies. Enfin, il doit garantir une continuité de l’information entre front et back-office.

HubSpot et Zoho conviennent bien dans un environnement relativement simple ; Salesforce, Dynamics et Creatio sont plus adaptés aux architectures complexes.

3. Les fonctionnalités essentielles à couvrir

Selon les activités, un CRM doit pouvoir gérer :

  • la centralisation et la segmentation des clients,
  • le suivi des opportunités commerciales ou des dossiers,
  • les échanges multicanaux (appels, emails, rendez-vous),
  • les relances automatiques,
  • les campagnes marketing,
  • les processus de validation internes,
  • le reporting et le pilotage commercial.

Un CRM bancaire ne remplace pas les outils réglementaires, mais il doit faciliter leur coordination.

4. La facilité d’usage pour les conseillers

Dans les métiers financiers, le taux d’adoption interne fait souvent la différence. Ainsi, un CRM doit être rapide à prendre en main. Recherchez plutôt un outil qui permet de simplifier la saisie, d’accélérer les relances et d’améliorer la visibilité sur les dossiers

Des outils comme HubSpot ou Pipedrive sont très accessibles ; Salesforce, Dynamics et Creatio demandent une conduite du changement plus poussée.

5. Le niveau d’automatisation nécessaire

Les établissements financiers peuvent automatiser une partie importante des tâches répétitives :

  • qualification des leads,
  • relances,
  • notifications aux conseillers,
  • emails de suivi,
  • rappels avant échéance,
  • pré-remplissage de dossiers.

Pour une PME financière ou un cabinet de courtage, HubSpot ou Zoho suffisent largement ; pour une banque avec workflows multi-étapes, Creatio ou Salesforce sont davantage adaptés.

6. Le budget et le coût de montée en charge

Le prix d’un CRM ne se limite pas à l’abonnement : personnalisations, intégrations, formation, accompagnement externe, ajout progressif de modules, licences supplémentaires peuvent entraîner des coûts additionnels.

HubSpot, Zoho ou Pipedrive permettent de démarrer à moindre coût, tandis que Salesforce, Microsoft Dynamics, Creatio ou NetSuite impliquent un budget plus conséquent, surtout en cas d’expansion.

7. La conformité et la sécurité des données

Même si le CRM ne gère pas directement la conformité réglementaire, la solution doit être irréprochable en matière de :

  • sécurité des données,
  • permissions et rôles utilisateurs,
  • auditabilité,
  • localisation des serveurs,
  • gestion des accès,
  • chiffrement.

C’est un point particulièrement important pour les banques, assurances et fintechs.

FAQ

Un CRM bancaire est-il différent d’un CRM classique ?

Il existe certes des CRM dédiés au secteur bancaire et des CRM “maison” dans la banque, mais de plus en plus, les établissements financiers utilisent des CRM généralistes qu’ils configurent pour leurs besoins : suivi des dossiers, coordination entre équipes, intégrations avec les outils métiers et gestion des interactions multicanales. La différence vient surtout du paramétrage, pas du logiciel lui-même.

Un CRM peut-il gérer le KYC ou la conformité ?

Un CRM ne remplace pas les outils réglementaires, mais il facilite leur coordination. Il permet de suivre l’avancement d’un dossier, de structurer les étapes, de gérer les relances et d’assurer une meilleure communication entre conseillers, back-office et équipes conformité. Le KYC peut être intégré à des CRM comme HubSpot via des connecteurs à des solutions tierces.

Quel CRM choisir selon la taille de son établissement bancaire ou financier ?

Les petites structures financières et les cabinets de courtage privilégient souvent HubSpot, Zoho ou Pipedrive pour leur simplicité et leur coût maîtrisé. Les banques et groupes plus complexes s’orientent vers Salesforce, Microsoft Dynamics ou Creatio, qui offrent une personnalisation avancée et des intégrations plus poussées.

Quel est le meilleur CRM pour une banque ?

Claire Michard
Experte marketing B2B

Claire a travaillé 10 ans dans des startups tech avant de se lancer en freelance comme experte marketing B2B. Elle adore tester de nouveaux outils et pour independant.io, elle partage son expertise sur la création de sites web, le CRM et le marketing automation.

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