Nous choisissons les services que nous recommandons de manière indépendante. Lorsque vous cliquez sur un lien partenaire, nous touchons parfois une commission.

Ressources Humaines

Recrutement : 25 statistiques et chiffres clés et 5 tendances pour 2024

Le recrutement est un investissement majeur pour toutes les entreprises. Aujourd’hui, il est devenu un véritable enjeu puisqu’il est de plus en plus difficile d’identifier, d’attirer et de recruter la perle rare. Le marché du travail a connu une transformation irréversible ces dernières années, marquée par une transition numérique et la crise sanitaire qui n’a fait qu’accélérer son évolution. Dans cet article, nous avons sélectionné pour vous 25 chiffres clés et 5 tendances à connaître sur le recrutement en 2024 !

25 statistiques et chiffres clés sur le recrutement

Chiffres clés du recrutement

Plus de 138 700 créations nettes d’emplois ont été enregistrées en 3 mois

Au cours du troisième trimestre de 2023, l’emploi dans le secteur privé est resté quasiment stable, en enregistrant une baisse de 17 700 postes après une hausse comparable de 12 200 emplois au trimestre précédent. Le niveau reste plus élevé que fin 2022, avec 138 700 emplois supplémentaires au 3ème trimestre 2023 par rapport au 3ème trimestre 2022.

La récente baisse est principalement due à l’emploi intérimaire, en diminution tous secteurs confondus, et particulièrement dans l’industrie et la construction en juillet et août 2023.

Plus de 3 millions d’intentions de recrutement étaient envisagées

D’après l’enquête « Besoins en main-d’œuvre 2023 » de Pôle emploi, le volume de recrutements se situe au même niveau que l’année précédente, avec 3 039 000 projets de recrutement en 2023 contre 3 046 000 en 2022. 54,3% de ces intentions d’embauche concernent des CDI, un chiffre équivalent à celui de 2022.

70 % des intentions de recrutements de 2022 émanent des entreprises de moins de 50 salariés

Parmi ces intentions de recrutement, 47% proviennent des entreprises de moins de 10 salariés, et 23% des entreprises de 10 à 49 salariés. À noter que les petites entreprises font de plus en plus recours aux alternants dans l’intention majeure de les former pour les recruter à la fin de leurs études.

7 intentions de recrutement sur 10 sont portées par les TPE/PME

Parmi les projets de recrutement en 2023, 49% proviennent des entreprises de moins de 10 salariés, en baisse de 2 points par rapport à 2022. 22% sont issus d’entreprises comptant entre 10 et 49 salariés, en recul d’un point en comparaison avec l’année précédente. À noter que les petites entreprises font de plus en plus recours aux alternants dans l’intention majeure de les former pour les recruter à la fin de leurs études.

Environ 800 000 postes se libèrent chaque année suite aux départs en retraite

D’ici 2030, les besoins générés par les départs en fin de carrière et le dynamisme de l’emploi devraient s’approcher des 800 000 postes chaque année selon le rapport Les Métiers en 2030 de la Dares. Indépendamment de l’ampleur de la création nette d’emplois, il y aura ainsi toujours des postes à pourvoir lorsque les seniors arriveront au terme de leur carrière professionnelle.

Plus de 7,4 millions de départs de fin de carrière d’ici 2030

Deux tiers des départs en fin de carrière concerneraient des travailleurs âgés de 60 ans et plus, avec la retraite en tant que principale raison de cessation d’activité (71 %), suivie par des raisons liées à la santé (10 %) et au chômage (10 %). Quelques diversités demeurent entre régions concernant l’âge de départ à la retraite : il est par exemple de 60,6 ans en région Hauts-de-France, contre 60,9 ans en moyenne en France de province.

45% des recruteurs affirment passer le plus de temps sur le tri de candidatures

Selon une étude IFOP pour Michael Page et MétéoJob de 2022, les 3 étapes de recrutement les plus chronophages sont le tri des candidatures, incluant la présélection des CV et les réponses aux candidats, suivie des entretiens et de l’évaluation des candidats, puis du processus de recherche des candidats d’après des recruteurs RH.

Cette durée varie généralement en fonction du type de poste et la complexité de recrutement. Néanmoins, elle peut être réduite en utilisant des méthodes et des outils numériques comme les ATS et les job boards pour gagner du temps sur les étapes de sélection des candidats et procédures de recrutement.

Le recrutement de saisonniers représente 27,6% des projets de recrutement

Selon Pôle Emploi, 839 192 projets saisonniers étaient envisagés pour l’année 2023. Cette part a enregistré une baisse de 2 points par rapport à 2022.

Une digitalisation accrue du recrutement

75% des employeurs déclarent que le digital améliore leur processus de recrutement

Cette opinion est également partagée par 6 talents sur 10 d’après une étude Opinionway pour Bruce. 74% des employeurs pensent que le digital leur donne par ailleurs accès à de meilleurs profils. Cette tendance s’est accélérée à la suite de la crise sanitaire.

Plus de 8 employeurs sur 10 perçoivent le digital comme un gain de temps dans le recrutement

Selon 84% des employeurs et 83% des personnes en âge de travailler, le digital est perçu comme un gain de temps, notamment dans le suivi et la gestion des ressources humaines. 15% des recruteurs considèrent en parallèle que l’intérim est le contrat se prêtant davantage à la digitalisation, juste derrière le CDI (20%).

Les entretiens d’embauche en visioconférence s’intègrent aux pratiques, à 46%

Depuis la crise sanitaire, le maintien d’entretiens d’embauche en visioconférence est en constante augmentation : 42% des entreprises déclarent réaliser certains entretiens en visioconférence et 4% l’appliquer à tous les entretiens en 2022, face à 28% et 7% respectivement en 2020.

73% des entreprises ont utilisé les réseaux sociaux pour au moins un recrutement de cadre

Contre 69% en 2021 et 59% en 2020, l’utilisation des réseaux sociaux dans les processus de recrutement est en rapide augmentation d’après le rapport des pratiques de recrutement des cadres 2023 de l’Apec. Ils représentent actuellement le deuxième canal de recrutement le plus utilisé par les entreprises, après l’offre d’emploi, tandis qu’il n’était que 4ème en 2019.

75% des demandeurs d’emploi postulent grâce à la marque employeur

Il est de plus en plus important d’avoir une marque employeur forte. Aujourd’hui, 86 % des candidats consultent les avis et évaluations des employés de l’entreprise avant de décider de postuler, et 75 % d’entre eux sont désormais susceptibles de postuler si la marque employeur de l’entreprise est remarquablement active. Une marque employeur forte augmente de 50 % le nombre de candidatures très qualifiées.

Une forte marque employeur diminue le coût de recrutement jusqu’à 50%

À la suite d’une enquête menée par le job board Glassdoor, 86% des professionnels des RH affirment qu’un recrutement de qualité permet de promouvoir l’entreprise en tant qu’employeur et d’attirer 50% plus de meilleurs talents. Une marque employeur forte permet donc d’économiser jusqu’à 50% sur les coûts de recrutement.

Des difficultés de recrutement persistantes

61% des recrutements sont jugés “difficiles”, un niveau jamais atteint

Ce chiffre s’élevait à 57,9% en 2022. Ces difficultés de recrutement concernent toutes les tailles d’établissement. Le délai moyen de recrutement a par conséquent augmenté en atteignant 12 semaines en moyenne en 2022, contre 11 semaines en 2021 et 9 semaines en 2020. Ce sont pour les métiers de couvreur zingueurs qualifiés, de pharmaciens et d’aides à domicile et aides ménagères que ces difficultés de recrutement sont le plus souvent rencontrées.

Le taux de chômage est de 7,4%

Au troisième trimestre 2023, le taux de chômage, mesuré selon les critères du Bureau international du travail (BIT), présente une stabilité presque totale avec une légère augmentation de 0,2 point. Il atteint ainsi 7,4% de la population active en France (à l’exception de Mayotte). Un chiffre plutôt stable depuis début 2022. Il reste inférieur de 3,1 points par rapport à son sommet de mi-2015.

En moyenne, 54% des entreprises ont eu recours à un intermédiaire de recrutement

Au vu des difficultés de recrutement, une part grandissante d’organisations fait appel à un organisme tiers pour faciliter son processus de recrutement. En 2022, 42% des entreprises de moins de 50 salariés ont eu recours à un intermédiaire, 53% pour celles entre 50 et 250 salariés, et 67% pour les entreprises de plus de 250 salariés. Ce moyen de recrutement est en hausse quelle que soit la taille d’entreprise depuis 2020 suite à une baisse durant la période de COVID-19.

Seulement 56% des recruteurs demandent une lettre de motivation aux candidats

Pour faire face aux difficultés et faire aboutir les processus, les organisations assouplissent leurs processus et critères de sélection. Elles demandent ainsi moins fréquemment une lettre de motivation, à 56% en 2022, en baisse de 11 points par rapport à l’année précédente.

Le faible nombre de candidatures demeure la difficulté principale à 76%

La difficulté majeure rencontrée par les recruteurs reste le nombre de candidatures reçues en premier lieu, suivi du décalage entre les candidatures et les profils recherchés, à 62%, et la concurrence d’autres employeurs sur les mêmes profils, à 58%. Ce constat est en augmentation de 6 points de pourcentage pour le nombre de candidatures et de 7 points pour la concurrence entre employeurs.

Pour la première fois depuis la crise sanitaire, l’emploi est moins dynamique que l’activité

Au deuxième trimestre 2023, la croissance de l’emploi se maintient, bien que son rythme ralentisse considérablement : on enregistre une augmentation de seulement 0,1 %, équivalant à 19 700 nouveaux postes, par rapport à une progression de 0,4 % au trimestre précédent. En parallèle, l’activité a rebondi à +0,5% durant le deuxième trimestre de 2023, traduisant un regain de productivité de +0,7%.

Focus sur l’alternance

837 000 contrats en alternance ont été signés

Cela marque une augmentation de 14% par rapport à 2021. Fin décembre 2022, le nombre d’apprentis s’élevait à 980 000 en France. Les TPE/PME sont la catégorie la plus représentée dans ces demandes d’apprentissage.

73% des embauches en alternance concernent le secteur des services

Le secteur des services est la première source de recrutement des alternants en 2022, suivi par l’industrie (14%), la construction (10,7%) et l’agriculture / pêche (2,3%). Au sein du secteur des services, le commerce, réparation d’automobiles et de motocycles et le soutien aux entreprises sont le duo de tête et représentent au total près de 38% des embauches des alternants.

Les TPE/PME sont celles qui s’engagent le plus pour l’emploi et la formation des jeunes

Sachant que le nombre de contrats d’apprentissage a plus que doublé ces dernières années, ce sont les entreprises de moins de 50 salariés qui font de plus en plus appel aux alternants, avec 537 493 signés en 2022, soit 66% du total de contrats d’alternance.

66% des alternants sont embauchés dans un délai de 6 mois après la fin de leur formation

Globalement, les jeunes diplômés ayant suivi leurs études en alternance bénéficient d’une meilleure insertion sur le marché du travail. 2 jeunes sur 3 (soit 66%) des ex-alternants occupent un emploi salarié dans l’entreprise où ils ont effectué leur apprentissage ou dans une autre.

L’aide gouvernementale à l’embauche d’apprentis se poursuit

Pour tout contrat conclus entre le 1er janvier 2023 et le 31 décembre 2023, une aide de 6000€ est attribuée à l’entreprise pour l’embauche d’un apprenti, quel que soit son âge, durant la première année de contrat. Pour les contrats établis jusqu’au 31 décembre 2022, cette aide était d’un montant maximum de 4125€ pour les entreprises de moins de 250 salariés pour la 1ère année d’exécution du contrat.

5 tendances du recrutement en 2024

Le recrutement doit s’adapter aux attentes des jeunes

Si les jeunes connectés sont de plus en plus présents sur le marché de l’emploi, il s’avère nécessaire de faire évoluer les processus et les approches de recrutement traditionnels.

En effet, d’après l’INSEE, les trois quarts environ de la population active seront composés de cette génération d’ici 2025. Il est donc opportun pour les entreprises d’adapter leur stratégie de recrutement aux attentes et exigences des jeunes.

Parmi leurs attentes, les jeunes accordent une grande importance à l’implication des dirigeants RH dans la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) et l’impact environnemental de leur futur employeur. Ils souhaitent également plus de justice sociale, plus de diversité et une meilleure égalité des genres au travail. Ils attachent donc une importance croissante à d’autres critères que la simple rémunération, mais pas uniquement les critères sociaux ou environnementaux : les valeurs partagées, la reconnaissance, la valorisation et l’ambiance de travail sont aussi des critères de choix Par conséquent, l’une des principales tendances du recrutement en ce moment est la mise en avant d’une culture d’entreprise positive.

Afin de séduire les jeunes, il est aussi impératif de s’appuyer sur les outils et modes de communication qu’ils utilisent au quotidien. L’utilisation des réseaux sociaux dans le cadre de recrutement a ainsi continué de progresser en 2022 pour atteindre 73%, en progression de 4 points. Les entreprises utilisent ce canal pour partager leurs offres d’emploi (68%), mais également pour approcher directement les candidats (54%). Il est donc nécessaire pour les entreprises d’être présentes sur les médias et plateformes les plus utilisés sur mobile (les applications des job boards également). Il est aussi important d’avoir un site internet de qualité sur mobile, qui leur permette non seulement de postuler, mais d’accéder facilement à l’information.

Le digital au cœur des processus de recrutement

Dans la même lignée, la digitalisation et la dématérialisation du recrutement sont de plus en plus importantes, et ce particulièrement depuis le Covid. D’après une étude menée par l’institut de sondage OpinionWay sur le “Recrutement et crise sanitaire”, 82% des recruteurs déclarent avoir modifié leurs procédures de recrutement en réponse aux difficultés d’embauche, et plus particulièrement depuis la crise sanitaire. Trois quarts de ces professionnels affirment que le digital a considérablement amélioré leur processus de recrutement dans sa globalité.

L’étude précise aussi que 84 % des entreprises qui ont digitalisé l’embauche en 2021 ont eu accès à de meilleurs profils de candidats et ont pu s’engager avec les candidats de manière plus personnalisée. Ces mêmes entreprises ont aussi pu traiter les candidatures plus rapidement grâce à des logiciels ATS et les autres outils en ligne.

Enfin, l’intelligence artificielle a un bel avenir sur le secteur, avec les nombreuses possibilités de filtrer les profils lors du sourcing pour identifier plus facilement les meilleurs candidats, ou en tout cas d’améliorer la bonne correspondance entre un candidat et une entreprise.

La marque employeur de plus en plus cruciale

Très importante pour les jeunes comme nous l’avons mentionné, la marque employeur devient un argument de recrutement que la plupart des candidats regardent de très près.

L’arrivée des évaluations d’entreprises via des plateformes de notation a permis aux candidats d’être plus sélectifs dans le choix des entreprises.

D’après une étude de Seenit en 2021, 69% des candidats sont plus enclins à postuler auprès d’une entreprise si celle-ci gère activement sa marque employeur.

Travailler sa stratégie de marketing RH et développer sa marque employeur devient donc incontournable et un vrai avantage en termes de recrutement.

Depuis quelques années et avec le développement de plateformes telles que Welcome to the Jungle et Monster, les entreprises peuvent désormais faire appel à des professionnels pour les aider à déployer leur marque sur le web.

La flexibilité et le télétravail deviennent un critère de choix

L’épidémie de Covid a modifié le lieu et le mode de travail de nombreuses personnes, ce qui a donc transformé les attentes des candidats vis-à-vis du rythme et de la cadence du travail.

Les employeurs qui proposent davantage d’options d’emploi à distance sont mieux placés pour attirer les talents, car les candidats y accordent désormais une plus grande importance. 55% des candidats considèrent la politique de travail comme un élément important voire très important d’une offre d’emploi, alors que seulement 31% des recruteurs l’indiquent systématiquement dans l’annonce.

Durant une étude du cabinet BCG, neuf répondants sur dix considèrent les options de travail flexibles comme importantes lorsqu’ils recherchent un emploi. 60% des Français veulent décider de leurs jours de présence physique.

La transparence des salaires

En France, la pratique de la mention des salaires dans la rédaction d’une annonce de recrutement est de plus en plus répandue. Cette approche, déjà adoptée par les entreprises américaines, consiste à élaborer une fourchette salariale pour le poste en pourvoir et qui fera l’objet d’une offre d’emploi. Selon une étude de Hellowork, 87 % des candidats en France ont déclaré qu’ils s’attendaient à être informés de la rémunération lorsqu’on leur proposait un emploi.

Cela permet également d’attirer des candidats passifs, car le salaire proposé dans une offre d’emploi peut inciter une personne ayant déjà un travail à postuler et changer d’emploi, alors qu’il ne l’aurait peut-être pas fait sans cette information.

Communiquer sur les salaires dans les annonces est également souvent un gain de temps. Les candidats qui ne sont pas satisfaits du salaire proposé par l’entreprise ne se donneront pas la peine de postuler. Cette stratégie facilite aussi la discussion des prétentions salariale.

>
D’après une enquête réalisée en avril par le cabinet Robert Half, 46 % des travailleurs français ne donnent pas suite aux offres d’emploi si le salaire n’est pas précisé.

Aujourd’hui, la transparence des salaires va même au-delà du recrutement avec des entreprises comme Alan ou Shine qui ont rendu public leurs grilles salariales et communiquent beaucoup dessus. La transparence des salaires peut donc même participer à la marque employeur, l’entreprise étant alors perçue comme honnête et transparente.

Le 24 avril 2023, le Conseil de l’Union européenne a adopté une directive sur la transparence des salaires. Cette directive doit être incorporée dans la législation française dans les trois prochaines années. Elle inclut une disposition obligeant les employeurs à communiquer aux candidats le montant de départ ou une fourchette de rémunération initiale pour les postes annoncés.

Cette directive devrait renforcer une tendance déjà en cours, puisque la proportion d’offres d’emploi sur le site Indeed en France mentionnant une rémunération chiffrée a doublé de janvier 2019 à mars 2023, atteignant 49,5 %.

FAQ

Quelles sont les grandes tendances du recrutement en 2024 ?

Sur la base de nos analyses, les principales tendances sont liées à la digitalisation du processus de recrutement ainsi qu’à l’accent mis sur les valeurs et la culture d’entreprise. L’investissement dans la marque employeur joue un rôle majeur pour attirer les bons talents.

Comment se porte la création d’emplois en France ?

La création d’emplois est plutôt stable depuis début 2022, après une forte hausse post-covid. Le troisième trimestre 2023 enregistre 138 700 créations nettes d’empois.

Combien coûte un recrutement ?

Le coût d’un recrutement dépend de sa complexité. Généralement, un recrutement peut coûter entre moins de 3 000 euros et plus de 10 000 euros.

SOURCES
  1. La situation sur le marché du travail au 3e trimestre 2023 — Dares
  2. Besoins en Main-d'Œuvre — France Travail
  3. Métiers 2030 - Quels métiers en 2030 ? — Dares
  4. Les métiers en 2030 : les postes à pourvoir par métiers — Dares
  5. Plus de 813 000 départs de fin de carrière d’ici 2030 — Insee
  6. Regards croisés dirigeants & recruteurs sur les évolutions du métier de recruteurs — Michael Page international France et MetéoJob
  7. Digitalisation de l'intérim : quels avantages pour les entreprises ? — OpinionWay
  8. Pratiques de recrutement des cadres 2023 — Apec
  9. 40+ Stats For Companies to Keep In Mind for 2021 — Glassdoor
  10. The Ultimate List of Employer Brand Statistics — Linkedin
  11. Au troisième trimestre 2023, le taux de chômage augmente de 0,2 point — Insee
  12. La situation du marché du travail au 2e trimestre 2023 — Dares
  13. Le contrat d'apprentissage — Dares
  14. Les nouveaux enjeux de l’alternance — France Travail
  15. Les chiffres de l’apprentissage en 2022 — Travail-emploi.gouv.fr
  16. Aides au recrutement d’un alternant — Travail-emploi.gouv.fr
  17. The State of Employer Brand 2021 — Seenit
  18. Intentions d’embauche en 2023 : les difficultés de recrutement persistent — ParlonsRH
  19. Enquête : le recrutement en 2022 — Hellowork
  20. Rentrée au bureau ou en télétravail ? La flexibilité jugée importante par 9 employés sur 10 — BCG
  21. Making Flexible Working Models Work — BCG
  22. Ce que veulent les candidats — Robert Half
  23. Transparence des rémunérations dans l'UE — Conseil de l'Union Européenne
  24. La transparence des salaires est un atout pour recruter, mais elle reste délicate à manier — Le Monde
Avatar photo
Responsable éditorial

Guillaume est le cofondateur d'independant.io. Diplômé d'HEC en marketing digital, il a passé 7 ans chez Google en tant qu'analyste dans les équipes dédiées aux clients du secteur de la finance.

NEWSLETTER

Rejoignez plus de 5 000 entrepreneurs

Chaque mois, directement dans votre boite mail, recevez des conseils, des outils ainsi que du contenu exclusif pour développer votre entreprise. Inscrivez-vous gratuitement !

[GLOBAL] Newsletter (post)

Vous aimerez aussi