Le sujet de l’entrepreneuriat féminin est plus que jamais au cœur de l’activité professionnelle en France, en 2025 ! Pour vous aider à y voir plus clair et peut-être aussi à vous convaincre qu’il ne faut plus hésiter à vous lancer, découvrez sans attendre notre article sur les chiffres clés et enjeux de l’entrepreneuriat féminin en 2025.
16 chiffres sur l’entrepreneuriat féminin
Les femmes représentent 28 % de la chaîne entrepreneuriale
Le secteur de l’entrepreneuriat demeure majoritairement masculin, en 2025. En effet, 28 % de la chaîne entrepreneuriale seulement est représentée par les femmes. Cette part comprend toutes les femmes qui ont l’intention de créer ou de reprendre, tous les projets en cours et bien sûr, toutes les cheffes d’entreprises.
1 femme sur 5 envisage de créer son entreprise
21 % des femmes aimeraient créer leur entreprise, un jour. C’est un chiffre en baisse de -6 points par rapport aux données de 2024. Si les femmes se montrent de plus en plus frileuses, c’est parce qu’elles manquent de confiance en elles (21 %). Plus encore, 34 % d’entre elles ont peur de l’échec : dans un contexte économique tendu, elles ne veulent pas prendre de risque. Enfin, la plus grande part, 46 %, a peur devant la complexité des démarches administratives.
41 ans est l’âge moyen des créatrices d’entreprises
En 2024, les créatrices d’entreprises ont en moyenne 41,6 ans. Elles se lancent de plus en plus jeunes, puisqu’en 2022, l’âge moyen des créatrices était de 43 ans. Le constat est légèrement différent pour les hommes qui ont en moyenne 43,6 ans lorsqu’ils créent leur société (la moyenne était de 42 ans en 2022).
56 % des femmes entrepreneures le sont pour donner du sens à leur vie professionnelle
Alors que les hommes, eux, sont plus motivés par l’attrait du gain financier, le Baromètre sur l’entrepreneuriat au féminin en 2025, mené par France Active et la FBF (Fédération Bancaire Française), révèle que 56 % des femmes entrepreneures ont choisi cette voie pour donner du sens à leur vie pro. Ce chiffre a augmenté de +12 % par rapport à 2024, montrant l’intérêt grandissant du bien-être au travail.
59 % des femmes pensent l’entrepreneuriat plus motivant que le salariat
Près de 6 femmes sur 10 ressentent plus de motivation face à l’entrepreneuriat que face au salariat. Ce chiffre augmente de + 11 points par rapport à 2024 ! Ce sont les plus jeunes qui éprouvent davantage ce sentiment. En effet, 35 % de ces femmes ont moins de 35 ans.
1 entrepreneuse sur 2 est dans le secteur de l’enseignement, la santé ou l’action sociale
Selon le Baromètre Infogreffe, Les Femmes et l’entrepreneuriat en France en 2024, publié le 8 mars 2025, 50,1 % des entrepreneuses travaillent dans l’un des 3 secteurs suivants : l’enseignement, la santé ou l’action sociale. Le secteur de l’industrie manufacturière et extractive est prisé par 40,6 % des femmes. Enfin, les autres activités de services (coiffure, blanchisserie, réparation d’ordinateurs, services funéraires, entre autres) rassemblent 52,4 % des cheffes d’entreprises.
41 % des femmes chefs d’entreprise mettent en place des actions écologiques
Au sujet des enjeux environnementaux, les femmes chefs d’entreprise se montrent très concernées. En effet, 41 % d’entre elles font du développement durable un axe stratégique, contre 33 % des hommes entrepreneurs.
36 % des cheffes d’entreprise engagées dans l’innovation
Le sujet de l’innovation est au cœur de l’entrepreneuriat en 2025. Ainsi, 36 % des femmes chefs d’entreprise s’engagent ! Cette part est légèrement moins importante que celle des hommes : 38 %.
6 entreprises sur 10 accompagnées par le programme Entrepreneuriat Quartiers 2030 sont portées par des femmes
La BPI (Banque Publique d’Investissement) lance son programme Entrepreneuriat Quartiers 2030, pour soutenir les entrepreneurs dans toutes leurs diversités, quels que soient leur statut, leurs objectifs ou leur secteur. En 2025, 60 % des entreprises accompagnées par ce programme sont gérées par des femmes.
30 % des femmes au French Tech Tremplin depuis 2019
Le programme French Tech Tremplin a été lancé en 2019. Son objectif est de promouvoir l’égalité des chances entre entrepreneurs issus de milieux sous-représentés dans l’univers français de la tech. Depuis sa création, 30 % des bénéficiaires sont des femmes cheffes d’entreprises !
36 % des reprises-transmissions sont gérées par des femmes
Depuis les années 2010, les femmes qui souhaitent entreprendre choisissent le plus souvent la reprise : elles représentent 36 % des reprises-transmissions. Ce chiffre est plutôt stable ces dernières années.
Les femmes qui souhaitent racheter une entreprise sont confrontées à plus de difficultés que les hommes. En effet, 48 % d’entre elles peinent à négocier contre 44 % des hommes. Aussi, 53 % des cheffes d’entreprises qui ont racheté une société ont éprouvé des difficultés pour trouver un financement, contre seulement 34 % des hommes.
28 % des Comex du CAC 40 sont des femmes
À la fin de l’année 2024, les femmes représentent 28 % des membres des comités exécutifs du CAC 40, et 26,7 % du SBF 120 (Société des Bourses Françaises). Ces chiffres ont légèrement augmenté ces dernières années mais sont à nuancer. En effet, ils correspondent aussi à un élargissement des équipes au sein des Comex. Cette augmentation bénéficie aux femmes, sans qu’elles soient pour autant placées à des postes clés.
43 % des entreprises individuelles sont créées par des femmes
Un chiffre similaire à 2023 : en 2024, 43 % des entreprises individuelles ont été créées par des femmes. Les secteurs dans lesquels la part féminine a le plus augmenté sont les activités de services administratifs et de soutien ou encore l’industrie manufacturière.
La Normandie compte le plus de femmes entrepreneures
En France métropolitaine, c’est la côte Ouest qui compte le plus d’entreprises dirigées par des femmes. En première place, la Normandie avec 36,3 % de ses sociétés dirigées par une cheffe, suivie de près par la Bretagne, avec 36 %. Le podium est complété par la Nouvelle Aquitaine (35,7 %).
26 % des entreprises créées par des femmes démarrent avec moins de 1 000 €
Selon le Baromètre sur l’entrepreneuriat des femmes en France, parmi les entreprises créées par des femmes, 26 % le sont avec moins de 1 000 € au démarrage. Ces mêmes sociétés, après 3 ans d’activité, ont généré moins de 15 000 € de chiffre d’affaires.
26 % des entreprises créées par des femmes ont généré des emplois sur les 3 premières années d’activité
1 entreprise sur 4 a été capable d’embaucher un ou plusieurs salariés. Seulement 4% des entreprises gérées par une femme ont dû licencier. Enfin, parmi toutes les entreprises créées par des femmes, la majorité (70 %) sont toujours stables après 3 ans d’activité. Ainsi, elles sont plus nombreuses que les hommes : 6 chefs d’entreprises sur 10 maintiennent la stabilité de leur société après 3 ans d’activité, 35% ont embauché et 5% ont licencié.
Femmes entrepreneures : les enjeux actuels
Si le terme “entrepreneuriat féminin” révèle le manque cruel de parité dans le milieu professionnel, c’est une appellation qui suscite des interrogations. Pourquoi parler d’entrepreneuriat féminin alors qu’on cherche à supprimer ce clivage entre les hommes et les femmes dans le milieu entrepreneurial ?
Beaucoup de femmes se refusent le droit à l’entrepreneuriat. Elles hésitent à se lancer à leur compte par peur de manquer de temps, de soutien et de moyens. Et pour cause : de nombreuses inégalités et difficultés persistent !
Dans cette dernière partie, nous traitons 4 tendances du milieu entrepreneurial féminin.
1. Une sous-représentation dans les secteurs stratégiques
Même si les femmes entrepreneures sont de plus en plus nombreuses dans la plupart des secteurs, leur présence reste parfois très timide dans les domaines dits “stratégiques”. Pourtant, les femmes ne manquent pas d’idées de création d’entreprise ! Majoritairement, il est question des secteurs de la tech, l’industrie, l’innovation scientifique ou encore la transition énergétique.
En effet, les femmes sont en petit nombre dans ces secteurs, et c’est premièrement parce qu’ils souffrent encore d’une image très masculine. Généralement, les profils sont les mêmes : de jeunes hommes âgés de moins de 40 ans, diplômés d’école d’ingénieurs et très carriéristes.
De plus, ces secteurs nécessitent généralement d’importants financements pour se lancer. Or, il est plus difficile pour les femmes d’obtenir un crédit que pour les hommes. Les raisons sont multiples, elles sont d’ailleurs l’enjeu n°2 de cet article.
Enfin, on peut dire que certaines femmes sont leur propre bourreau. En effet, ici se pose la question de la légitimité : le peu de femmes représentées ainsi que les difficultés de financements poussent les femmes vers d’autres secteurs. C’est d’elles-mêmes qu’elles s’éloignent inconsciemment de ces secteurs stratégiques, laissant champ libre aux hommes.
Fort heureusement, cela tend à changer, doucement mais sûrement ! À l’image du nombre de femmes présentes au CAC40. Nous le rappelons néanmoins, dans ces Comex, les femmes n’occupent encore que trop rarement les postes clés.
2. Un accès limité aux financements
Les femmes font face, toujours en 2025, à l’inégalité d’accès aux financements. Cette difficulté structurelle freine leur capacité à se lancer, développer ou pérenniser leur société.
Ces tendances aux inégalités hommes/femmes s’expliquent par des habitudes tenaces, qui persistent dans le monde du travail, le secteur entrepreneurial y compris. Les investisseurs sont moins frileux devant les projets portés par des hommes que ceux des femmes. En guise d’exemple, en 2022, seules 11 % des levées de fonds étaient dirigées vers des entreprises portées par une femme, selon BPI France. Le stéréotype de l’entrepreneuse ambitieuse mais prudente demeure bien ancré.
D’ailleurs, l’accès au crédit bancaire est aussi plus difficile pour les cheffes d’entreprise. Elles sont nombreuses à peiner à obtenir des financements, notamment par manque de reconnaissance de leur légitimité entrepreneuriale. Très souvent, un autre facteur pèse lourdement dans la balance, celui de l’auto-censure. Certaines des entrepreneuses renoncent à solliciter des prêts importants par peur du rejet, pour les raisons précédemment évoquées. Ainsi, leurs projets sont sous-capitalisés, donc plus vulnérables.
Heureusement, des initiatives voient le jour pour accompagner les femmes à se lancer ou durer dans l’aventure entrepreneuriale. Un peu de patience, c’est tout le sujet de notre quatrième point.
3. Des inégalités de revenus et une précarité économique
Selon le Baromètre 2024 de L’Entrepreneuriat Féminin mené par Infogreffe, les femmes cheffes d’entreprise gagnent en moyenne 30 % de moins que leurs homologues masculins. Tous les secteurs d’activité sont touchés, ainsi que toutes les régions.
La première explication concerne le secteur justement. Les femmes sont majoritairement représentées dans les activités dites “à faible rentabilité”, comme l’artisanat, les services ou encore le bien-être.
De plus, les femmes cheffes d’entreprise sont, tout autant que les femmes salariées, généralement en charge de la vie familiale. On parle alors de temps partiel subi. En effet, le temps de travail est involontairement réduit avec la gestion des tâches domestiques et très souvent des enfants.
Enfin, troisième facteur non négligeable : la couverture sociale. Les femmes entrepreneures sont moins bien protégées que les salariées notamment en cas d’arrêt maladie, de congé maternité ou de baisse d’activité. C’est ainsi qu’un imprévu de la vie personnelle peut alors très vite avoir de lourdes répercussions financières.
Heureusement, de plus en plus de dispositifs existent pour accompagner les femmes et leur permettre de se lancer. Notre quatrième point y sera consacré.
4. Des programmes d’accompagnement dédiés aux femmes entrepreneures
Face à ces difficultés persistantes, de nombreux programmes ont vu le jour pour accompagner les femmes entrepreneures. Plus qu’une simple aide, ces dispositifs sont de véritables soutiens pour informer, rompre l’isolement, accompagner, sécuriser les débuts, mais aussi et surtout, montrer aux femmes qu’elles sont aussi légitimes que les hommes ! Zoom sur quelques-uns de ces dispositifs :
- Entrepreneuriat Pour Tous : porté par BPIFrance, ce dispositif favorise la création d’entreprise dans les secteurs prioritaires ou zones rurales, notamment par des femmes. Cette action propose, gratuitement, des formations ainsi qu’un accès à un réseau d’experts du monde entrepreneurial. Bref, de quoi se lancer en toute sécurité !
- Femmes des Territoires : 100 % féminin, ce réseau de femmes collaboratif mise sur la solidarité et les partages d’expériences. Ce dispositif propose du mentorat, des ateliers de formation et d’information, et des webinaires thématiques ; le maître mot est l’entraide. Autrement dit, la sororité appliquée au monde entrepreneurial !
- Les Premières : voilà un incubateur 100 % féminin qui accompagne toutes les cheffes d’entreprise qui souhaitent bousculer les codes et voir plus loin dans le développement et la structuration de leur projet. Ce dispositif, présent partout en France, accompagne les femmes de A à Z : de l’émergence d’une idée à la levée de fonds, en passant par la mise en place d’une stratégie efficace et d’un réseau pro.
- Garantie EGALITE Femmes : ce programme, lui aussi porté par BPIFrance, a pour objectif principal de faciliter l’accès au crédit bancaire pour les femmes cheffes d’entreprise. Il permet notamment de couvrir jusqu’à 80 % d’un prêt bancaire.
D’autres dispositifs d’aides à la création existent en France. Qu’il s’agisse des prêts d’honneur portés par France Active ou encore Initiative France, ou alors des réseaux d’affaires comme Action’elles, Force Femmes ou Willa, chaque femme entrepreneure a la possibilité d’être accompagnée dans sa mission.
3 portraits de femmes qui ont réussi leur aventure entrepreneuriale
Catherine Barba, l’entrepreneure qui accompagne les entrepreneur(e)s
Catherine Barba, c’est la quintessence de l’entrepreneuriat féminin en France. Diplômée de l’ESCP Europe en 1996, elle s’est rapidement imposée comme une figure incontournable du numérique et du commerce en ligne. Après avoir dirigé iFrance jusqu’en 2003, elle fonde CashStore, un portail de cashback novateur, puis Malinea, un cabinet de conseil en e-business, témoignant de sa capacité à anticiper les évolutions du marché digital.
Son engagement dépasse la sphère entrepreneuriale. Catherine Barba est une fervente promotrice de la diversité et de l’inclusion, notamment à travers la co-organisation de la Journée de la Femme Digitale, mettant en lumière les réussites féminines dans le secteur technologique.
En 2022, elle cofonde Envi avec ses deux associées (Carine Malaussena et Charlotte de Charentay), une école dédiée aux indépendants visant à accompagner les entrepreneurs dans leur quête de succès. Selon elle, deux compétences sont essentielles : la capacité à vendre et une confiance en soi inébranlable. Envi propose ainsi des formations et un réseau de mentors pour insuffler cette « niaque » indispensable à la réussite. Ensemble, elles ont d’ailleurs créé le Grand Prix des Indépendants, l’évènement phare qui met à l’honneur les indépendants de France, et ce depuis 3 ans.
Distinguée par de multiples récompenses, dont le titre de Femme en Or en 2011 et celui de Femme d’Influence économique en 2014, Catherine Barba est également chevalier de l’Ordre National du Mérite et de la Légion d’Honneur.
Son parcours illustre avec éclat la puissance et la pertinence de l’entrepreneuriat au féminin.
Lucie Basch, l’entrepreneure engagée
Lucie Basch incarne avec brio la force et la détermination de l’entrepreneuriat féminin. Diplômée de l’École Centrale de Lille, elle débute sa carrière dans l’industrie agroalimentaire au Royaume-Uni. Confrontée à l’ampleur du gaspillage alimentaire, elle décide en 2016 de quitter son poste pour apporter une solution concrète à ce fléau.
Animée par une volonté inébranlable, Lucie cofonde l’application Too Good To Go au Danemark, avant de l’introduire en France la même année. Cette plateforme innovante permet aux particuliers d’acquérir, à prix réduit, les invendus alimentaires des commerçants, offrant ainsi une réponse pragmatique au gaspillage.
Too Good To Go connaît une expansion fulgurante. Présente dans 17 pays, dont les États-Unis, l’application compte aujourd’hui 70 millions d’utilisateurs et a permis de sauver près de 100 millions de repas à travers le monde.
Lucie Basch ne se contente pas de cette réussite. Elle s’investit activement pour sensibiliser le grand public et les institutions aux enjeux du gaspillage alimentaire, contribuant ainsi à inscrire cette problématique au cœur des débats sociétaux.
Lucie Basch incarne ainsi une nouvelle génération de femmes entrepreneures, alliant innovation, engagement et impact sociétal.
Nina Métayer, l’entrepreneure sacrée Meilleure Pâtissière du Monde
Nina Métayer est l’exemple parfait de l’alliance entre la passion et l’entrepreneuriat. Née en 1988 à La Rochelle, elle découvre sa passion pour la boulangerie lors d’un échange scolaire au Mexique. De retour en France, elle obtient un CAP en boulangerie, puis perfectionne son art en Australie avant de se former en pâtisserie à l’école Ferrandi à Paris.
Son parcours professionnel est jalonné de collaborations prestigieuses. Elle intègre l’équipe du Meurice sous la direction de Yannick Alléno, devient cheffe pâtissière à l’hôtel Raphaël, puis rejoint Jean-François Piège pour créer la carte des desserts du Grand Restaurant. En 2019, animée par une volonté d’indépendance, elle fonde sa propre entreprise de conseil en haute pâtisserie, mettant son expertise au service de projets internationaux.
En 2020, Nina innove en lançant Délicatisserie, une pâtisserie en ligne qui révolutionne la vente traditionnelle en boutique. Cette initiative audacieuse témoigne de sa capacité à allier tradition et modernité, tout en répondant aux nouvelles attentes des consommateurs.
Les distinctions ne tardent pas à couronner son talent : Pâtissière de l’année en 2016 par le magazine Le Chef, en 2017 par le guide Gault et Millau, et en 2023, elle devient la première femme à recevoir le titre de Pâtissière mondiale décerné par l’Union internationale des boulangers et pâtissiers.
Consciente des défis liés à sa condition de femme dans un milieu majoritairement masculin, Nina a dû surmonter de nombreux obstacles. Cette résilience et cette détermination font d’elle une source d’inspiration pour toutes les femmes aspirant à entreprendre. D’ailleurs, Nina Métayer s’investit dans la transmission de son savoir-faire. Elle participe à des masterclasses, intègre des jurys de concours prestigieux et intervient dans diverses émissions, contribuant ainsi à former la prochaine génération de pâtissiers.
Le parcours de Nina Métayer illustre la puissance de l’entrepreneuriat au féminin, mêlant passion, innovation et persévérance.
FAQ
Qu’est-ce que l’entrepreneuriat féminin ?
Le terme “entrepreneuriat féminin” révèle le manque cruel de parité dans le milieu professionnel, c’est une appellation qui suscite des interrogations. Elle a été créée pour désigner les activités entrepreneuriales portées par des femmes.
Existe-t-il des réseaux dédiés à l’entrepreneuriat pour les femmes ?
En plus des aides de l’Etat, il existe des réseaux comme Willa, Sista ou encore Femmes Business Angels. Ces organismes proposent des accompagnements comme des formations, des levées de fonds ou encore des rencontres pour aider et encourager les femmes à lancer leur projet.
Combien de femmes entrepreneures compte-on en France ?
En 2022, près de 210 000 entreprises ont été créées par des femmes en France. C’est près de 2 entreprises sur 3.